Quid de ce concept dans l’industrie graphique et tout particulièrement chez les imprimeurs ?
Dans notre dernier billet, nous avions fait un tour d’horizon général sur l’industrie 4.0, et ce qu’elle apporte en terme de promesses aux groupes industriels : l’usine « intelligente », la communication en instantané dans les process, un outil d’aide à la décision dans les choix stratégiques, et enfin, l’aspect non négligeable d’une révolution verte.
Principe N°1 : une imprimerie intelligente
Vous le
savez bien : le suivi des paramètres impactant le rendu couleur est
fastidieux et demande des ressources et des connaissances parfois indisponibles.
Mesurer, contrôler la qualité
couleur est votre préoccupation première, et demande la plus grande attention.
Une imprimerie intelligente qui s’inscrit dans le concept de l’Industrie 4.0
est celle connectée en continu :
si votre monitoring de la qualité couleur est automatisé, alors la cohérence
colorimétrique est acquise une fois pour toute, quels que soient les procédés et les supports d'impression.
=> Avez-vous une connexion automatique à vos
instruments de mesure ?
=>
Un tableau de bord personnalisé pour suivre
chaque ligne d’impression ?
=>
Une vision globale et synthétique de l’ensemble
de vos productions imprimées ?
Principe N°2 : une imprimerie optimisée financièrement
Autre
préoccupation, non des moindres, la productivité de votre outil industriel.
Vous êtes souvent soumis à une forte pression sur vos marges, vous devez sans
cesse surveiller les coûts de l’atelier d’impression. Ce qui veut dire,
optimiser le temps humain de réglages des machines print, supprimer les erreurs
« humaines » etc. L’automatisation du suivi qualité vous apporte des gains financiers considérables
: réduction de 25% sur vos temps de calage impression et augmentation de votre vitesse de
production imprimée de 10%
=>
Votre suivi de la non qualité est-il possible
en temps réel par des alertes automatiques ?
=>
Avez-vous entamé une démarche pour
améliorer la productivité de votre outil industriel ?
Principe N°3 : une imprimerie sans gaspillage
Aujourd’hui,
2051 imprimeurs sont labellisés « Imprim’Vert », une belle progression sur la prise de
conscience de l’utilisation des produits toxiques, le stockage et l’élimination
des produits dangereux etc… Néanmoins, il apparait qu’en
moyenne 35 % de la matière première entrante dans une imprimerie ressort sous
forme de déchets. Au sein de votre imprimerie, le premier
gaspillage est la gâche matière,
inacceptable dans un environnement où vous devez être vigilant aux contraintes
écologiques. Elle vous paraît encore incontournable ?
Pourtant il existe des solutions d’optimisation et d’automatisation permettant de répondre à cet enjeu. Ainsi, avec un outil adapté à l’industrie 4.0, vous pouvez économiser 25% sur la passe, et 15% sur l’encre.
Pourtant il existe des solutions d’optimisation et d’automatisation permettant de répondre à cet enjeu. Ainsi, avec un outil adapté à l’industrie 4.0, vous pouvez économiser 25% sur la passe, et 15% sur l’encre.
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Comment surveillez-vous vos points variants sur
l’engraissement, l’encrage, le mouillage ? Quelle gâche papier du fait de
manque de suivi de vos paramètres clés ?
=>
Où en êtes-vous dans votre empreinte
écologique ?
Pour s’inscrire durablement dans ces 3 principes, vous devez passer d’un mode manuel de contrôle interne, souvent « fait maison », donc lourd à maintenir, à un mode automatisé.
La
bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions qui permettent cette
connectivité en temps réel. Avec les solutions en SaaS actuelles, vous pouvez
bénéficier d'une plateforme où l'information est centralisée. Des outils de
pilotage personnalisés (accessibles de partout) vous alertent en cas de non
qualité. Vous avez accès à toutes vos check-list pour guider vos équipe dans
l’amélioration continue.
Tous
vos points variants (tableau ci-dessous) sont minutieusement contrôlés, pour
une production d'une qualité constante.
